Lumières sur la justice

Justice est faite inaugure le grand cycle du cinéaste consacré à la justice et à ses mécanismes faillibles. À travers le procès d’une femme accusée d’avoir tué son mari, le film de Cayatte explore la subjectivité des jurés et la part de théâtralité inhérente à la justice, qui transforme les salles d'audiences en plateaux de tournages dont les cinéastes n'ont toujours pas fait le tour. Une mise en récit et en images récompensée par les grands prix de la Mostra (1950) et de la Berlinale (1951).

En partenariat avec la CVEC, la Cinémathèque Universitaire, l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, et l’Université Sorbonne Nouvelle.